Les coulisses de la réussite à l’ECEMA : une Alumni témoigne !

Pauline Perrin, Alumni Écémalienne avec une carrière déjà bien remplie et major de sa promotion, nous partage son parcours au sein du campus stéphanois !

Qu’est-ce qui vous a motivé à choisir l’ECEMA ?

J’ai initialement choisi l’ECEMA Saint-Étienne pour sa localisation. Étant originaire de Haute-Loire, et après deux années d’études à Lyon, le campus stéphanois m’a permis de revenir dans ma région et surtout auprès de mes proches.
Par ailleurs, une personne de mon entourage avait intégré l’ECEMA Saint-Étienne et m’avait partagé un retour très positif sur l’école.
Pour finir, la possibilité de poursuivre mes études en alternance était pour moi une condition incontournable.

Pourquoi avoir choisi le parcours Ressources Humaines ?

Je suis entrée à l’ECEMA en Bachelor Management-Gestion (Bac+3). Durant cette année, j’ai effectué mon alternance au sein d’un service RH afin de découvrir la réalité terrain des métiers qui le composent. Cette expérience en alternance m’a beaucoup plu, et m’a permis de confirmer mon intérêt et mon envie de travailler dans ce domaine. Elle a donc concrétisé mon projet de poursuivre en Mastère Ressources Humaines, toujours au sein de l’ECEMA.

Comment s’est passée votre recherche d’alternance ?

J’ai recherché ma première alternance à la rentrée 2020, en pleine période de Covid. Cela a rendu la démarche assez difficile : beaucoup d’entreprises étaient en crise, en chômage partiel et les DRH débordés. Beaucoup de sociétés m’indiquaient ne pas avoir le budget nécessaire, ou ne répondaient pas à ma candidature.
Finalement, le hasard a joué en ma faveur : six mois auparavant, j’avais envoyé mon CV à une entreprise pour réaliser un stage. La DRH m’a rappelé avant même de publier son offre, car elle recherchait un(e) Assistant(e) RH en alternance. Après deux entretiens, mon contrat d’apprentissage était signé.

Avez-vous pu être accompagnée dans votre vie étudiante et professionnelle par vos conseillers formation et pédagogiques ?

Lors de ma recherche, les chargés de relations entreprises m’ont transmis quelques offres d’alternance, même si la période était compliquée avec la Covid-19. Je n’ai pas bénéficié d’un accompagnement particulier, car je n’en ressentais pas forcément le besoin.

Votre expérience générale au sein de l’école a-t-elle été à la hauteur de vos attentes ?

Oui, j’ai globalement vécu une très belle expérience à l’ECEMA Saint-Étienne.
Je l’ai d’ailleurs recommandée à plusieurs personnes, dont mon petit frère qui vient de terminer son Mastère en Stratégie d’Entreprise.
Dans le cadre de mes fonctions, j’ai également orienté des candidats vers l’ECEMA pour leur recherche d’école en alternance.

Comment jugez-vous la qualité des enseignements proposés ?

La qualité des enseignements pouvait varier d’un cours à l’autre, mais nous avons eu d’excellents intervenants, passionnés par leur métier. Lorsque des difficultés se présentaient avec un intervenant (ce qui était rare), le service pédagogie réagissait rapidement et apportait des solutions concrètes pour satisfaire au mieux l’ensemble des personnes concernées.

Comment l’alternance vous a permis de mettre en pratique les notions acquises ?

L’alternance m’a permis d’appliquer directement l’ensemble des notions théoriques abordées en cours, ce qui favorise une progression rapide.
J’ai eu la chance d’avoir d’abord une tutrice, puis un tuteur, qui m’ont donné de l’autonomie assez tôt sur divers sujets RH, ce qui m’a fait monter en compétences rapidement.

Les intervenants de l’ECEMA sont-ils accessibles et disponibles pour vous guider dans votre parcours ?

Oui, globalement, les intervenants ont su se rendre disponibles pour les étudiants qui en avaient besoin. Personnellement, j’ai souvent pu échanger avec eux durant les pauses notamment, ce qui favorise la proximité et l’accompagnement.

Y a-t-il des cours qui vous ont particulièrement marqué ? Pourquoi ?

Oui, particulièrement les cours avec Philippe Azzi, qui sortaient de l’ordinaire. Nous débutions par un point sur la météo du jour. L’idée était d’évaluer son humeur et son niveau d’énergie sur une échelle de 1 à 100. Il nous arrivait aussi de pratiquer des exercices de sophrologie. Ce genre de démarches est assez inhabituel dans la culture française et je trouve que cela apporte une touche d’originalité ainsi qu’une véritable bouffée d’air frais.
J’ai aussi beaucoup apprécié les cours de géopolitique : cela nous permettait de développer notre culture générale avec une diversité de notions qui complétaient nos modules basés sur les RH.

Dans quelle structure travaillez-vous aujourd’hui ? Sur quel poste ?

Je travaille toujours dans la société RIVOLIER où j’ai fait mon alternance.
En 2020, j’ai commencé comme Assistante RH en apprentissage. En 2023, j’ai signé un CDI en tant que Chargée de missions RH, et j’ai été promue quatre mois plus tard au poste de Responsable Ressources Humaines. Une évolution inattendue mais très enrichissante !

Quel a été votre parcours après l’ECEMA ?

• Bachelor (Bac+3) Management-Gestion – Responsable d’unité opérationnelle
• Mastère (Bac+5) Ressources Humaines

Avec le recul, pensez-vous que l’école vous a bien préparée à la réalité du travail ?

Je pense qu’aucune école ne peut totalement préparer à la réalité du monde du travail, il faut l’expérimenter pour en prendre la mesure.
En revanche, l’alternance est un vrai atout : elle permet une transition en douceur, sans choc brutal à l’entrée dans la vie professionnelle.

Quels conseils donner aux futurs étudiants ?

Je leur conseillerais de bien choisir leur alternance (lorsqu’ils en ont la possibilité). Être épanoui dans son entreprise rend l’ensemble du parcours plus fluide : cours, révisions, mémoires, oraux, etc.
Je recommande aussi de s’informer régulièrement sur son domaine d’activité, d’être proactif et de provoquer les opportunités plutôt que d’attendre qu’elles viennent à nous.

Si c’était à refaire, choisiriez-vous de nouveau l’ECEMA ?

Oui, sans hésiter ! D’autant plus qu’aujourd’hui l’école propose des Learning Expeditions, ce qui n’existait pas encore à mon époque. Je trouve formidable de permettre aux étudiants de partir une semaine à l’étranger pour découvrir une autre culture et un autre mode d’apprentissage.